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Biographie

Photobucket Jacky CRENEAU présente : Creneau Films Productions. Jacky Créneau Reporter photographe Lillois, élève de l'école Louis Lumière de Paris avec comme professeur Raymond DEPARDON, qui n'est autre que le photographe officiel de notre nouveau Président de la République François HOLLANDE.
Jacky commence comme photographe de l'agence Champagne à Roubaix( mode et défilés ),parallèlement gérant, photographe et reporter de l'agence Osiris, et aussi reporter de mariages, cérémonies et évènementiels pour le groupe Photo-Express... Réalisateur de composits et PressBooks... dans diverses sessions: mode, charme, portrait, lingerie, mariage, photographie industrielle, photo-journalisme, publicité,conception cartes et pochettes pour des disques vinyles,CD, VHS et DVD. Cinéaste et scénariste. Président de Créneau Films Production, Réalisateur de clips , courts et longs métrages. Actuellement Reporter photographe et suivi de réalisateurs et comédiens concernant les avant-premières et interviews des nouveaux films du Cinéma Français et international, ( UGC,Kinepolis,Majestic et Métropole de Lille et environs ).

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Le Créneau du cinéma .
******************** Ce blog est réalisé et administré par Jacky CRENEAU et Daniel HERMAN .



L'évasion de l'orphelinat



TABLEAU sous forme de COURT METRAGE pour une adaptation théâtrale écrite par
Emilie TOMMASI : "R.A.S -Les portes qui claquent" : ( Scène de " l'évasion de l'orphelinat". d'après
" Les souvenirs de Michel " - Réalisation: Emilie TOMMASI et Jacky CRENEAU - Musique originale : Daniel HERMAN pour ekm productions - informusic & CRENEAU FILMS PRODUCTION et ACTIO FILMS

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onférences :

En 2012, le Festival avait organisé deux conférences au Furet du Nord de Lille spécifiques mais pour autant prestigieuses: la première avait eu lieu en présence de notre parrain le réalisateur britannique David Yates (Harry Potter) le vendredi 30 mars à 17h et la seconde avec le réalisateur et dessinateur Vincent Paronnaud (Persépolis, Poulet aux prunes) le vendredi 6 avril à 17h.

Table Ronde

Le secteur du cinéma est dominé par une incertitude empêchant de prédire les retombées. Il est alors évident que la logique qui anime un producteur n'est pas loin du marketing classique. Dès lors, projets cinématographiques et réalités économiques sont étroitement liés. Une conférence a mis en interaction différents représentants de la sphère cinématographique française autour d'un même thème: l'économie du cinéma. Ce débat avait été organisé en Avril 2012 sur Lille à l'espace conférence de Surcouf, rue du Molinel.


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Le Festival du Cinéma Européen de Lille a organisé en collaboration de l’association "Prix de court" et "www.film-court.com" il a mis à l'honneur le cinéma du Vieux continent, et plus particulièrement le court métrage. A travers une programmation exigeante, des longs métrages hors compétition, des séances jeune public, un concours de scénarii… le festival a offert un accès privilégié à ce format encore trop méconnu.
Pour cette année 2013, le festival a déroulé ses bobines du 29 mars au 5 Avril ayant eu comme parrain officiel, le célèbre réalisateur Patrice LECONTE .

FESTIVAL INTERNATIONAL du FILM d' AMOUR

FESTIVAL INTERNATIONAL du FILM d' AMOUR
Affiche de la présentation 2014

mercredi 19 février 2014

Les trois frères ( Le retour ), de Didier BOURDON, Bernard CAMPAN & Pascal LEGITIMUS " Les Inconnus "


    
Synopsis :

Des années après le décès de leur mère, les frères Latour, qui se détestent toujours autant, sont à nouveau « réunis » par la défunte. Rien ne va dans leur vie : Bernard, qui vit dans une caravane, court le cachet en tant que comédien, Didier se fait passer pour un prof de philo, alors qu'il vend en fait des sextoys par correspondance et Pascal vit aux crochets d'une riche cougar…. A l'ouverture du testament de leur mère, ils s'aperçoivent que leur mère ne leur a laissé que des dettes. Accompagné de Sarah, la fille de Bernard, ils tentent de se refaire une santé financière en se lançant dans le trafic de drogue. Mais on ne s'improvise pas voyou...











Dix-huit ans après, un remake qui semble un peu rappeler les trois frères ( 1ère partie ).... De toute façon, ils nous manquaient, çà fait vraiment du bien de retrouver nos chers compatriotes "Les inconnus " dans cette nouvelle aventure tout aussi hilarante. C'est un vrai moment de bonheur  à passer avec nos trois héros . De plus on apprécie l'évolution des personnages finalement qui n'ont pas tant vieilli que çà, autant dire que ce film est quasiment à la hauteur de la première version, pour ne pas dire meilleur. On adore, ils font parti des grands monuments de la comédie française..

Photos de la conférence de presse : ( avant-première UGC - Villeneuve d'Ascq )






 




Didier BOURDON- Jacky CRENEAU
Bernard CAMPAN -Evangelos MANIS (critique cinéma )
Shannon-Venus CRENEAU- Bernard CAMPAN
Pascal LEGITIMUS- Viviane-Rachel CRENEAU

BANDE-ANNONCE :


vendredi 14 février 2014

Fiston de Pascal BOURDIAUX


Synopsis:

Depuis qu’il a 7 ans, Alex n’a qu’une obsession : séduire Sandra Valenti, la plus jolie fille d’Aix en Provence et, à ses yeux, la plus jolie fille du monde. Aujourd’hui, il lui faut un plan infaillible pour pouvoir enfin l’aborder. Il décide de s'adjoindre les services d'Antoine Chamoine qui presque 20 ans auparavant, a séduit Monica, la mère de Sandra.


Fiston est la deuxième réalisation de Pascal Bourdiaux, après la comédie divertissante Le Mac (2010), avec José Garcia. Le réalisateur a toujours officié dans le registre de la comédie, et s'est principalement fait connaître du grand public en réalisant la série à succès Un Gars, une Fille.



Après avoir joué le cancre dans Les Profs, c’est le premier grand rôle au cinéma pour l’humoriste et petit chouchou de la télévision Kev Adams. A 22 ans, ce touche-à-tout a déjà mis en scène son propre one-man show et créé la série télévisée Soda dans laquelle il campe un glandeur de 18 ans.



HOMMAGE à Valérie BENGUIGUI :

  
 Fiston marque la dernière apparition au cinéma de l’actrice Valérie Benguigui, disparue le 2 septembre 2013 des suites d'un cancer du sein. Elle incarne ici la mère d’Alex (Kev Adams), une femme ultra protectrice qui élève seule son garçon. Sur le tournage, l'actrice a partagé un interminable fou rire avec Franck Dubosc, qui se souvient encore de la scène : "Alors, il y a eu cette scène, tournée à deux heures du matin, et quelque chose dans nos regards, une étincelle qui a mis le feu aux poudres pendant plus d’une heure avec toute l’équipe qui patientait et nous pliés de rire, complètement barrés ailleurs". En hommage à la comédienne, cette séquence figure au générique de fin du film.




Kev Adams et Franck Dubosc n'ont pas fait leur classe au cinéma. A l'aise dans l'art du stand-up, c'est sur scène qu'ils ont d'abord conquis le public, avant de gagner le grand écran, tout en continuant de se produire sur scène en parallèle. Pour Franck Dubosc, malgré leur différence d'âge, ils partagent tous les deux le goût de l'effort : "Quand vous faites de la scène, vous savez que chaque détail compte, que rien n’est jamais acquis, qu’il faut plaire au public. Kev, qui est très jeune, et pourrait être plus en dilettante, sort en fait du même moule que moi : c’est un bosseur acharné."


Qui d'autre aurait pu incarner ce jeune adulte un peu gauche et transi d'amour de la plus belle fille de la région ? Pour le scénariste Daive Cohen, qui connaît bien le parcours et les performances de Kev Adams, il n'y avait personne d'autre en lice. Et dès la lecture du scénario, l'acteur en herbe - qui a suivi les conseils d'un coach pendant le tournage - a tout de suite vu que ce personnage lui permettrait d'évoluer et d'élargir sa palette d'interprétations : "J’y retrouvais exactement ce que j’avais envie de faire au cinéma : incarner quelqu’un de mal dans sa peau qui est à la recherche de son identité et qui va finir par la trouver. La seconde raison pour laquelle j’ai été emballé c’est que j’avais envie de me confronter à un acteur installé dans le paysage du cinéma français, envie de créer un vrai choc de générations."

 
Habitué à se mettre dans la peau d’adolescents puérils, Kev Adams campe ici un jeune adulte : "Il est dans une fin de crise d’adolescence un peu tardive, mais il n’est plus sous l’autorité parentale. Il est seul dans sa tête". A contrario, Franck Dubosc interprète cette fois-ci un homme mûr, loin des rôles que le cinéma français lui confie habituellement. L’acteur explique avoir laissé pousser sa barbe, effectué un travail sur sa voix et porté des sous-pulls pour rendre plus crédible son personnage.

La bonne humeur qui régnait tout au long du tournage du film n'est pas anodine. En effet, Kev Adams et Franck Dubosc n'étaient pas seulement complices à l'écran. Hors des heures de tournage, les deux humoristes s'amusaient à se moquer respectivement de leur différence d'âge : "Nos deux personnages se chambrent beaucoup concernant leur âge. Franck et moi avons adoré faire ça sur le plateau mais aussi en dehors. Nous nous sommes immédiatement installés dans ce conflit générationnel. Nous avons commencé dans le train, carte jeune contre carte vermeille. Tous les soirs, je frappais à la porte de sa chambre d’hôtel et je lui criais : "on va en boite papy ?"."


Avant de partager l'affiche ensemble, Franck Dubosc et Kev Adams appréciaient chacun le travail de l'autre, malgré leur 28 ans d'écart. "Quand il faisait ses films et ses gros spectacles j'avais 15/16 ans et j'allais le voir sur scène", a déclaré la nouvelle coqueluche des ados, tandis que Franck Dubosc voit en lui la nouvelle génération d'humoristes qui prendra la relève, "Mis à part son humour, sa force est le charisme (...) Je le trouve vraiment bien. C'est un acteur."

C'est le 11 février 2013 qu'a débuté le tournage de Fiston, entièrement filmé dans les rues d'Aix-en-Provence. La caméra de Pascal Bourdiaux s'est notamment posée aux abords des places Séraphin Gilly et Richelme, dans la faculté de droit ou encore à la cité universitaire des Gazelles.

 

Le film met en lumière les difficultés, à tout âge, d'aborder une personne du sexe opposé. Dans le film, Antoine (Franck Dubosc) joue les experts en séduction, une sorte de coach pour Alex (Kev Adams), qui débute tout juste. Hors tournage, les deux complices se refilent même des combines pour réussir à séduire : "Je suis un jeune séducteur encore, donc jusque-là, je faisais de la baby séduction, je commence seulement maintenant la vraie séduction. Franck distille des petites anecdotes de sa jeunesse (il n’y a pas si longtemps) et j’apprends beaucoup."




Guy Lecluyse, qui interprète un commissaire de police, avait déjà collaboré avec le jeune Kev Adams dans la série Soda, sous la casquette du père de famille. 
L'acteur a déclaré "être fier" de la production de son fils... dans Fiston !

Photos de la conférence de presse :







                 Le pouvoir du cinéma est de perdurer vers l'éternité, la vie à nos chers comédiens disparus.

BANDE-ANNONCE : 

 

mardi 11 février 2014

Méa Culpa de Fred CAVAYE

  Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

  avec :  Vincent Lindon, Gilles Lellouche, Elena Anava, Nadine Labaki ...

 Synopsis et détails :

  Flics sur Toulon, Simon et Franck fêtent la fin d'une mission. De retour vers chez eux, ils percutent une voiture. Bilan : deux victimes dont un enfant. Franck est indemne. Simon, qui était au volant et alcoolisé, sort grièvement blessé . Il va tout perdre. Sa vie de famille. Son job de flic. Six ans plus tard, divorcé de sa femme Alice, Simon est devenu convoyeur de fonds et peine à tenir son rôle de père auprès de son fils Théo qui a désormais 9 ans. Franck, toujours flic, veille à distance sur lui. Lors d'une corrida, le petit Théo va être malgré lui le témoin d'un règlement de compte mafieux. Très vite, il fera l'objet de menaces. Simon va tout faire pour protéger son fils et retrouver ses poursuivants. Le duo avec Franck va au même moment se recomposer. Mais ce sera aussi pour eux l'occasion de revenir sur les zones d'ombre de leur passé commun. 


Mea Culpa marque les retrouvailles de Fred Cavayé avec Vincent Lindon et Gilles Lellouche. Bien qu'ayant tous deux travaillé avec le réalisateur, c'est la première fois que les deux acteurs se retrouvent ensemble dans le même film. Vincent Lindon avait déjà participé à Pour elle en 2008 et Gilles Lellouche avait collaboré sur A bout portant en 2010 et Les Infidèles en 2011.



A l'origine, le premier script a été rédigé par Guillaume Lemans sur une idée d'Olivier Marchal. Après l'abandon d'un autre projet, Fred Cavayé a repris l'idée et l'a modifiée pour en faire un film dont le thème tourne plus autour de la rédemption que de la vengeance. Olivier Marchal et Fred Cavayé se connaissent bien puisqu'ils avaient collaboré ensemble sur Pour elle en 2008.



Fred Cavayé confie que Mea Culpa, troisième volet d'une série de films qu'il considère comme une trilogie (avec A bout portant et Pour elle), sera une sorte de mélange de ses deux précédents films. Il souhaitait que Mea Culpa réunisse à la fois l'émotion de Pour elle et l'action d' A bout portant : "Mea Culpa ayant bénéficié de tout ce que j’ai appris sur mes deux premiers films, je le voulais comme un idéal de cinéma d’action tel que je le conçois. Un cinéma à la fois ludique et émouvant", explique le metteur en scène.




Pour Le réalisateur, Mea Culpa devait être du cinéma interactif. Il souhaite que le spectateur utilise son propre vécu pour réagir à ce qu'il voit. Pour aller dans ce sens, le réalisateur a choisi de minimiser les dialogues : "Le dialogue n’est là que pour faire passer quelque chose qu’on ne peut véhiculer par l’image, ou même par la musique". Il ajoute : "Le spectateur n’est pas un animal que l’on nourrit, c’est un être humain avec des sentiments universels que l’on peut utiliser pour raconter l’histoire."



Vincent Lindon et Gilles Lellouche n'ont pas ménagé leur peine sur le tournage de Mea Culpa. En effet, ils ont tous les deux été blessés à plusieurs reprises. Le premier s'est notamment fait plusieurs hématomes, un claquage, cassé une côte et sa tête a violemment frappé un rail de chemin de fer pendant le tournage de la bagarre finale. Le second, lui, s'est fait une sévère coupure en tournant la scène où il dévale une pente le long de la voie ferrée. Il avait refusé de se faire doubler pour cette cascade.

Nadine Labaki, nouvelle venue dans l'univers de Fred Cavayé avait déjà été pressentie pour interpréter le rôle de Nadia dans A bout portant. C'est finalement Elena Anaya qui avait eu le rôle. C'est donc tout naturellement que le réalisateur a pensé à Nadine Labaki pour jouer Alice. 



 Une nouvelle esthétique :



Le metteur en scène souhaitait changer l'esthétique de son nouveau film. Il voulait se séparer de l'esthétique du polar français. Pour cela, il s'est entouré d'un nouveau chef opérateur (Danny Elsen) qui lui a permis de tester de nouveaux horizons. Il confie : "Je voulais vraiment rompre avec l’esthétique du polar français, avec cette image désaturée que j’avais en effet adopté pour mes deux précédents films, pour aller vers l’opposé, vers des images très saturées. Cela donne quelque chose de plus ludique, de plus graphique, avec un visuel presque surréaliste par instants."









 La musique : 

 Mea Culpa marque une autre nouvelle collaboration pour Fred Cavayé. Cette fois-ci, après Klaus Badelt pour ses deux premiers films, il a fait appel à Cliff Martinez, compositeur entre autre de Steven Soderbergh. Le réalisateur tenait à ce que la musique de son film traduise non pas l'action présente à l'image, mais la pensée des personnages. Martinez a dû composer en fonction, tout en s'éloignant du genre de musique présente dans les films d'action traditionnels que Cavayé n'apprécie pas particulièrement.

                                  Cliff MARTINEZ

Le décor et les découpages :

Au sujet des décors, Fred Cavayé explique : "Le décor, pour moi, c’est ce qui définit la dramaturgie. Je réécris souvent, y compris pendant la préparation et le tournage, pour adapter mon filmage au décor". Ainsi, lors de la séquence de poursuite dans l'entrepôt, les décors s'enchaînent. Les personnages commencent par se retrouver dans une boîte de nuit, puis les toilettes, les rues, un entrepôt...



L'intrigue de Mea Culpa a permis au réalisateur de beaucoup plus découper ses séquences, ce qu'il n'avait pas expérimenté sur un film comme A bout portant. Il a mis en place une variété de plans à l'intérieur d'une scène tout en essayant de ne pas reproduire plusieurs fois les mêmes plans et insuffler ainsi une nouvelle dynamique.
Fred Cavayé est fier de son film et le fait savoir : "Sur le rapport entre le spectacle délivré à l’écran et les budgets qui nous sont impartis dans ce genre de films (...), je pense avoir été au bout de ce qu’on peut faire en termes de film d’action avec un budget français. Et ça, j’en suis assez fier". Rappelons que le film disposait d'un budget initial d'environ vingt millions d'euros, bien moins donc qu'une superproduction américaine.




BANDE-ANNONCE :